« Ah non, moi je n’ai pas d’ami et je ne sais pas pourquoi ! » ou « Je n’ai pas besoin d’ami, après tout je suis bien quand je suis seul(e) » ou « J »ai des amis mais nous n’investissons pas cette valeur de la même manière et ça m’attriste » ou « J’ai des pseudo amis car je joue toujours un rôle avec eux » ou « J’ai suffisamment d’amis et ils acceptent qu’on ne se voit pas tous les jours » etc.
De nombreux patients parmi ceux que j’ai rencontrés se plaignent de relations sociales plus ou moins satisfaisantes. Il y en a toutefois qui n’ont aucun souci avec cela. Je pourrais faire une étude valide sur ma patientèle (plus de 3000 HPI) mais il y aurait cependant un biais statistique : ils consultent un psychologue et il y a donc potentiellement une problématique. Une étude statistique longitudinale sur une population avec des QI variés apporte des pierres à un édifice auquel j’adhère.
Cliquez ici pour lire cet article.
🎁Gift : dans mon mémoire de maîtrise, une des découvertes a été de constater que les enfants HPI étaient significativement plus exigeants dans leurs relations amicales, qui elles-mêmes étaient moins nombreuses que dans la population générale. Par ailleurs, quand on demandait à des enfants d’une classe, qui faisait partie de leurs amis ? Ils donnaient souvent le nom d’un HPI dans le nombre alors que le HPI ne citait pas ou peu souvent cette personne, étrange non ? qu’en pensez-vous ?